"le titulaire le plus enthousiasmant actuellement : perfection de la diction, clarté des aigus, raffinement de la ligne, intensité vocale, tout y est. La douceur de son air de la troisième partie, les notes émises en falsetto dans son duo avec Marguerite, le corps à corps avec la houle de l'orchestre dans l' Invocation à la nature , … tous les écueils sont franchis avec une indéniable réussite!" -Classicnews.com -
"Un sauveur nommé Spyres...Un ténor capable de tenir la partie de Faust, cela ne se trouve pas à tous les coins de rue. Par chance, Michael Spyres (photo), habitué de cet emploi, est à Paris en ce moment pour la préparation du Pré aux Clercs de Hérold (à l'affiche à partir du 23 mars à la Salle Favart) et a pu se libérer in extremis ; il aura disposé d'à peine plus d'une heure de répétition avec Paul Daniel. Rien de tel pour mettre en valeur professionnalisme et sens musical. La qualité des protagonistes qui l'entouraient a certes aidé, mais on ne peut toutefois que saluer bien bas la performance du chanteur américain samedi dernier. Galvanisé par le défi, Spyres offre un Faust humain et touchant par la fragilité qu'il lui imprime. Rien de fragile en revanche chez un ténor dont l'ardeur, le style et le sens de la ligne, sans parler d'un français impeccable, forcent l'admiration et lui vaudront in fine un triomphe légitime." -Concertclassic.com -Alain Cochard
"Mon rêve s’est exaucé lors de la seconde représentation avec Michael Spyres remplaçant le titulaire au pied levé. Il est vrai que celui-ci a déjà chanté le rôle sur scène. Ca se voit et surtout ça s’entend. Il y croit ! Voix chaire, bien projetée, articulation et diction de rêve (pour un étranger bravo !). J’avais mon Faust idéal, tant rêvé." -jcmbdx.unblog.fr - Jean-Claude Meymerit
"Un sauveur nommé Spyres...Un ténor capable de tenir la partie de Faust, cela ne se trouve pas à tous les coins de rue. Par chance, Michael Spyres (photo), habitué de cet emploi, est à Paris en ce moment pour la préparation du Pré aux Clercs de Hérold (à l'affiche à partir du 23 mars à la Salle Favart) et a pu se libérer in extremis ; il aura disposé d'à peine plus d'une heure de répétition avec Paul Daniel. Rien de tel pour mettre en valeur professionnalisme et sens musical. La qualité des protagonistes qui l'entouraient a certes aidé, mais on ne peut toutefois que saluer bien bas la performance du chanteur américain samedi dernier. Galvanisé par le défi, Spyres offre un Faust humain et touchant par la fragilité qu'il lui imprime. Rien de fragile en revanche chez un ténor dont l'ardeur, le style et le sens de la ligne, sans parler d'un français impeccable, forcent l'admiration et lui vaudront in fine un triomphe légitime." -Concertclassic.com -Alain Cochard
"Mon rêve s’est exaucé lors de la seconde représentation avec Michael Spyres remplaçant le titulaire au pied levé. Il est vrai que celui-ci a déjà chanté le rôle sur scène. Ca se voit et surtout ça s’entend. Il y croit ! Voix chaire, bien projetée, articulation et diction de rêve (pour un étranger bravo !). J’avais mon Faust idéal, tant rêvé." -jcmbdx.unblog.fr - Jean-Claude Meymerit